CITATIONS

Paroles d'écrivains :


  • Abel Barbara (Derrière la haine) :
Quoi que l’on fasse, quels que soient les jalons que l’on pose, au bout de la route on trouve toujours la même chose.

  • Barré Pierre-Emmanuel (En route !) :
Devenir amish ou déménager à Châteauroux, ça lavera peut-être votre conscience, mais pas la planète.

  • Bayard Inès (Steglitz) :
Les habitudes changent vite quand on vit avec quelqu’un qu’on aime…

  • Beaulieu Baptiste (Alors voilà) :
La fin des autres est un miroir tendu vers la fragilité de nos propres existences. On soigne peut-être à cause de ça : de tous les êtres humains, les médecins sont sans doute les plus terrifiés par la mort.

Il y a urgence de vivre, il est plus tard qu’on ne le pense.

Je ne meurs pas, tu me continues.

  • Coben Harlan (L'inconnu de la forêt) :
Le mieux c'était le téléphone. C'est là que les gens stockent leur vie, et pas que les jeunes. Les adultes aussi. L'être humain a confié ce qu'il a de plus intime à ces gadgets, en échange de... on ne sait trop quoi. Une certaine commodité sans doute. Des liens artificiels peut-être, qui valent mieux que pas de liens du tout.

  • Croizon Philippe (Pas de bras, pas de chocolat !) :
Oui, mille fois oui, on peut rire de tout, même du handicap, même de MON handicap ! Je suis, en effet, le premier à m'auto-appliquer ce principe souvent piétiné par la morale.

  • Delaume Chloé (Le cœur synthétique) :
Il y a bien plus de femmes que d'hommes et ils meurent en premier. A défaut d'être lesbienne, il faut être inventive.

  • Destombes Sandrine (les jumeaux de Piolenc) :
L’innocent tremble toujours face à la justice.

  • De Vigan Delphine (No et moi) :
Le problème c'est les mais, justement, avec les mais on fait jamais rien.

  • Dupond-Moretti Eric (Bête noire) :
Cette interminable attente de la sentence n'est pas un temps comme les autres : c'est un moment suspendu, une parenthèse de mystère durant laquelle se joue le destin d'un être.

Les vrais avocats pénalistes ne reconnaissent ni Dieu, ni maître, ils ne rendent de comptes à personne.

  • Ellory R.J. (Un cœur sombre) :
La loi ne servait pas l'homme ordinaire. Moyennant quoi l'homme ordinaire n'avait aucune envie de lui obéir.

  • Gervais François (L'urgence climatique est un leurre) :
Le carbone est tout le contraire d'un polluant. Sa présence est irremplaçable dans notre propre organisme.

La hausse des océans prophétisée en mètres d'ici à la fin du siècle, c'est de l'ordre d'un millimètre par an qu'elle est observée par la moyenne des marégraphes.

  • Giébel Karine (Ce que tu as fait de moi)
Je lui ai dit que je l’aimais. Je ne mentais pas. J’aimais deux femmes, d’un amour différent. L’un était rassurant, l’autre violent, effrayant. L’un était vital, l’autre létal. J’aimais deux femmes, l’une était une drogue douce ; l’autre une drogue dure. L’une était ma vie. L’autre serait ma mort.

  • Giébel Karine (Glen Affric)
Je ne suis plus innocent, murmure-t-il. Quand tu sors de seize ans de taule, tu ne peux pas être innocent. Tu ne peux plus être innocent.

  • Giordano Raphaëlle (Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une) :
Nous sommes ce que nous répétons sans cesse. (Aristote)

Vous n'imaginez pas à quel point votre pensée influence votre réalité...

  • Gounelle Laurent (Et tu trouveras le trésor qui dort en toi) :
Le plus important restait cette découverte troublante : le christianisme aussi bien que l'hindouisme, le bouddhisme ou encore le taoïsme invitait à se libérer de l'ego.

  • Hatzfeld Jean (Une saison de machettes) :
On n'était pas seulement devenus des criminels ; on était devenus une espèce féroce dans un monde barbare.

Au fond, pour cette première fois, j'ai été très surpris par la vitesse de la mort, et aussi par la mollesse du coup, si je puis dire. Je n'avais encore jamais donné la mort, je ne l'avais jamais envisagé, je ne l'avais jamais essayé sur un animal à sang. [...] 
Par après on s'est familiarisé à tuer sans autant tergiverser.


  • Hawking Stephen (Brèves réponses aux grandes questions) :
Rappelez-vous qu'il faut regarder les étoiles, pas vos pieds. Essayez de donner du sens à ce que vous voyez et de vous interroger sur l'existence de l'Univers. Soyez curieux. En toutes circonstances, il y a toujours quelque chose à faire, et à réussir. N'abandonnez jamais. Faites confiance à votre imagination. Faites advenir le futur.

  • Houellebecq Michel (Sérotonine) :
Les femmes comprennent mal ce qu'est l'amour chez les hommes, elles sont constamment déconcertées par leur attitude et leurs comportements, et en arrivent quelquefois à cette conclusion erronée que les hommes sont incapables d'aimer, elles perçoivent rarement que ce même mot d'amour recouvre, chez l'homme et chez la femme, deux réalités radicalement différentes.

  • Kampusch Natascha (3096 jours) :
Le rapprochement avec le ravisseur n'est pas une maladie. Se créer un cocon de normalité dans le cadre d'un crime n'est pas un syndrome. Au contraire. C'est une stratégie de survie dans une situation sans issue, et qui est plus fidèle à la réalité que cette plate catégorisation selon laquelle les criminels sont des bêtes sanguinaires et les victimes des moutons sans défense, et dans laquelle la société se complaît.

C'est tellement facile de s'attacher un être qu'on laisse mourir de faim.

  • King Stephen (Après)
Le plus moche dans l'histoire, c'est que plus on grandit, plus on la boucle.

  • Labarde Christophe (Les grands fauves) :
"Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France", disait le général de Gaulle. Eux aussi.

  • Lebel Nicolas (Dans la brume écarlate) :
Une morale tyrannique et bécasse s'était installée, qui prônait le politiquement correct, le bio, l'écriture inclusive, la bienveillance, la vapoteuse à la barbe à papa, et bannissait l'opinion et le second degré. Il était aujourd'hui proscrit de se faire plaisir en buvant un verre, en fumant une clope et en insultant les cons. Pauvre monde ! Pauvres cons !

  • Loevenbruck Henri (Nous rêvions juste de liberté) :
La liberté, il y en a partout. Il faut juste avoir le courage de la prendre.

  • Loevenbruck Henri (J'irai tuer pour vous) :
Mais c'est quoi, pour toi, la révolution ? Papi hésite. -Eh bien, justement, tu vois, la révolution, c'est accepter de faire face à l'impossible. Mais c'est aussi accepter de se salir les mains. Les révolutions propres, ça n'existe pas.

Nul ne devrait jamais ignorer le prix de sa précieuse liberté, ni les combats qu'elle nécessite pour être préservée.

  • Loubry Jérôme (Les refuges) :
Mais les ruptures se nourrissent du temps et du silence. Elles dévorent nos remords et les digèrent jusqu’à les rendre inaudibles.

  • Niel Colin (Entre fauves) :
C'est pour ça, aussi, que les Blancs veulent toujours dire à l'Afrique comment s'occuper des éléphants et des rhinocéros, tu comprends ? Parce que chez eux, ils ont fait n'importe quoi.

  • Perrin Valérie (Trois) :
Tu sais, Nina, on croit. Et puis on se trompe.

C'est si petit, un garçon, à côté d'une fille. On dirait toujours que ça a une vie de moins.

Le diable touche davantage les anges que les salauds, c'est bien connu, leur cœur est si facile à dévorer.

  • Poncet Thierry (Zykë l'aventure) :
Mon nouveau patron est un aventurier. Un vrai, un comme-dans-les-films mais en vrai, qui passe sa vie à sillonner le globe en quête d'actions grandioses, d'emmerdes invraisemblables et d'émotions fortes.

  • Querouil Manon (La part du Ghetto) :
Les jeunes du quartier ne sont plus énervés. Les mecs avec l'envie de tout casser, la rage chevillée au corps, c'est terminé. La Haine, c'est fini. [...]
Les petits, aujourd'hui, ils ne pensent qu'à un seul truc : faire du fric, point barre.

  • Ricard Matthieu (L'art de la méditation) :
La méditation consiste plus exactement à prendre le contrôle de son esprit, à se familiariser avec une nouvelle compréhension du monde et à cultiver une manière d'être qui n'est plus soumise à nos schémas de pensée habituels. Elle débute souvent par une démarche analytique et se poursuit par la contemplation et la transformation intérieures.

Etre libre, c'est être maître de soi-même. Ce n'est pas faire tout ce qui nous passe par la tête mais s'émanciper de la contrainte des afflictions qui dominent l'esprit et l'obscurcissent. C'est prendre sa vie en main, au lieu de l'abandonner aux tendances forgées par l'habitude et la confusion mentale. Ce n'est pas lâcher la barre, laisser les voiles flotter au vent et le bateau partir à la dérive, mais au contraire barrer en mettant le cap vers la destination choisie : celle qu'on sait être la plus souhaitable pour soi-même et pour les autres.

  • Richard Keith (Life) :
Quelle prise de tête, tout ça ! On ne cherchait pas à détruire les fondements moraux de la nation, mais eux pensaient que si, et donc au bout du compte on était poussé à l'affrontement.

Je ne fais pas ça pour l'argent, ni pour vous. Je fais ça pour moi.

  • Rufin Jean-Christophe (Immortelle randonnée - Compostelle malgré moi) :
Le chemin est à tous mais chacun s'y découvre lui-même. C'est une raison de plus de le parcourir.

  • Sénèque (De la brièveté de la vie) :
Le plus grand obstacle à la vie est l'expectative, qui, suspendue au lendemain, gâche l'aujourd'hui.

Nous n'avons pas véritablement une existence courte, mais nous en gaspillons une part considérable.

  • Simpère Françoise (Ce qui trouble Lola) :
Adrien entre dans son cul sans effort, il la sodomise au plus profond, elle qui prétendait détester cela, voici qu'elle en jouit en riant, en tremblant...

  • Sfar Joann (Vous connaissez peut-être) :
Le sujet, ce n'est pas seulement le chien Marvin ou pas seulement Lili. le sujet, c'est Facebook et la promesse qu'offrent les images. Le petit chien de Facebook, la jolie fille de Facebook, et pour finir le carnage de Facebook seront toujours plus attirants que les drames vécus et éprouvés dans nos vies minuscules. Car derrière ces images, dans la joie ou dans l'horreur, se tiennent des promesses plus grandes que nous.

  • Toulmé Fabien (Ce n'est pas toi que j'attendais) :
Pour certains brésiliens, c'est le bébé qui choisit ses parents à la naissance. Dans notre cas, il aurait donc fallu considérer qu'on avait eu de la chance d'être choisis par cet enfant spécial : c'était une preuve de confiance, le signe que nous saurions nous occuper d'elle.

  • Tran Céline (Ne dis pas que tu aimes ça) :
Je ne suis pas différente parce que je baise, mais parce que j'aime ça, pleinement, sans honte à le dire. Ce n'est pas la performance qui rend le sexe extraordinaire, mais l'extraordinaire envie de partager.

  • Vernon Arthur (La vie, l'amour, le sexe) :
On constate que la vie est dure, le bonheur n'existe pas, mais le plaisir sexuel est l'instrument naturel le plus efficace pour augmenter le bonheur ressenti.

  • Vuillard Eric (L'ordre du jour) :
Le monde cède au bluff. Même le monde le plus sérieux, le plus rigide, même le vieil ordre, s'il ne cède jamais à l'exigence de justice, s'il ne plie jamais devant le peuple qui s'insurge, plie devant le bluff.

  • Wolff Michaël (Le feu et la fureur) :
Finalement, la diva de la droite et soutien de Trump, Ann Coulter, prend un jour le Président élu à part et lui dit : "Manifestement, personne ne vous l'a dit, mais vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez tout simplement pas embaucher vos enfants."

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