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170 pages Parution : 2020 |
Un peu de l’histoire :
D'abord, il y a Armand et Paul, les jumeaux nés en 1903. Et puis cet accident dont Armand ne se sortira pas vivant, mais qui sera comme beaucoup des histoires de famille, enfoui, tu.
Elle sera sans doute le fondement de ce personnage, Paul, tellement fort et malgré tout tellement absent.
Et puis il y a André, le fils. Celui de Gabrielle, mais qui sera élevé par Hélène, sa tante. Il grandira parmi ses cousines en ne rencontrant sa mère que durant les vacances en famille.
Et c'est l'histoire de cette famille, de ses parents, de ses enfants, sur plusieurs générations et jusqu'en 2008, dont tous les acteurs sont finalement les descendants de cet accident originel, qui les influencent, d'une façon ou d'une autre.
A mon avis :
Pour tout dire, quelques jours après avoir terminé ce roman, il ne me reste principalement en mémoire que cette anecdote du début sur la mort du jumeau.
Pour le reste, je ne me rappelle que quelques bribes de cette histoire qui s'étale sur plusieurs générations, sans que de véritables liens ne relient les différents protagonistes, à part les liens familiaux.
Bref, voici donc pour moi, une histoire sans grand intérêt. Et en écoutant Marie-Hélène Lafon parler de son livre, tout en construction et technique d'écriture, cela me conforte dans cette impression qu'il n'a pas d'âme, mais que l'écriture seule compte.
Le parallèle qu'elle fait entre les chapitres et des tableaux de peinture se vérifie. Ils n'ont pas de liens entre eux, ils ne parlent guère, mais ils peuvent être considérés séparément comme beaux.
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Marie-Hélène Lafon parle de son livre :
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